La route continue

Ce matin,  petit tour de marché pour acheter des avocats, des citrons, et des bananes, passer à la banque  pour retirer de l’argent, car là où nous partons c’est le bout du bout du monde.

trajet-bajawa-riungLe bus public passe nous chercher comme prévu, c’est un vieux truc sans âge, nous casons nos bagages dans l’allée et  en route.

Le Lonely planet décrit la route comme épouvantable, nous confirmons !!

65 kilomètres en 3 heures !!! Et sans bouchon ni feux tricolores. Nous sommes dans des  montagnes russes entrecoupées d’épisodes de « shaker ». En général Françoise dort pendant tous les transports, mais là, non, impossible de fermer l’œil. En revanche, nous n’avons même  pas peur car le bus  ne dépasse pas les 30 km/h.

Les paysages sont toujours aussi splendides, mais différents de ceux que nous avons vu de Lubuanbajo à Bajawa. Ici, il y a beaucoup plus de jungle, et  des rizières en terrasses qui ponctuent le paysage.

Riung est un tout petit village de pêcheurs de l’ethnie des Bagis. Ils seraient les meilleurs pêcheurs de toute l’Indonésie. Ils vivent  au bord de la mangrove dans des maisons en bois sur pilotis. Le village n’a pas encore l’électricité, c’est un générateur qui  en produit de 18 heures à 6 heures du matin. Les congélateurs ne sont pas connus ici, on mange frais tous les jours.

L’arrivée à Riung  se fait sous une pluie battante, et d’ailleurs il a du pleuvoir énormément, car la petite rue où nous logeons est inondée, et nous avions vu sur la route des champs gorgés d’eau, la route traversée par des torrents d’eau. Notre hôtel n’est pas mal du tout, il est géré par des missionnaires chrétiens. Nous y avons retrouvé David et Oana, et avons dîné avec eux. Demain, nous prévoyons une sortie en mer tous les quatre. Espérons que le soleil soit revenu.

 

 

Ce matin le soleil est revenu, nous sortons avec un bateau pour visiter 3 îles parmi les 17 îles de ce petit archipel.

Nous mettons le cap sur l’île aux « renards volants » comme disent les anglais pour parler des chauves souris. Sur cette île entourée de mangroves vivent des milliers de chauves  souris énormes, rousses au ventre orange, elles sont frugivores, et le soir au coucher du soleil elles s’envolent pour aller chercher leur nourriture sur les autres îles.

Nous demandions si elles faisaient des dégâts dans les plantations, notre capitaine nous répond   qu’il y tellement de fruits dans les forêts, que les chauves souris ne sont pas un problème  pour la nature.

Il nous a raconté une belle histoire. Un missionnaire aurait vécu seul, sur cette île pendant 15 ans et lors de son départ définitif pour Florès, une volée de chauves souris l’auraient accompagné à sa nouvelle demeure !

La mousson nous a rattrapés, et la suite de notre journée bateau sera perturbée par la pluie, nous avons tout de même pu  aller faire du snorkeling   et accoster sur une île déserte, celle de Robinson, très certainement, sable blanc, coquillages et grand calme.

Puis repas les pieds dans l’eau sur une autre île, il n’y aura pas de photo de ce trip  car l’appareil photo a souffert de la pluie et la carte mémoire est fichue. Heureusement qu’Alain sauvegarde  chaque jour les photos, sinon, cela aurait été une catastrophe.

Enfin, bien que la météo ne fût pas  clémente nous avons passé une excellente journée avec David, Oana, et Joïce et un jeune homme du coin.

Demain nous repartons pour Ende

Photos

La transflorésienne

Bajawa et sa région

Dès  7 heures nous prenions un bus de 15 personnes,  très confortable pour  Bajawa. Nous ferons 250 kilomètres en  8 heures. Eh oui, la route est assez bonne, mais plus que sinueuse, un vrai régal  tout le long de la route, les paysages sont époustouflants de beauté. Traversée de forêts gigantesques, rizières en terrasses, cascades, petites rivières rapides, petits villages, pas un instant nous ne sommes ennuyés. Cette route est d’autant plus agréable que  le trafic est peu important. Le chauffeur nous arrête de temps en temps pour acheter des fruits au bord de la route et  pour grignoter un petit en cas.

img_1341-largeL’arrivée à Bajawa est assez folklorique, le bus nous arrête à une intersection  de route, nous  sommes les seuls touristes et un chinois. Un comité d’accueil  de 3 motards  nous attend et nous propose de nous conduire à l’hôtel de notre choix. Nous leur montrons nos gros bagages, mais « no problem », ils peuvent nous prendre et nos bagages sur la même moto. Et  c’est  parti mon kiki !

Florès n’est pas une île très densément habitée, les gens y sont particulièrement gentils, tous prêts à rendre service, si bien que pour trouver notre chemin nous n’avons jamais eu de problème.

Notre hôtel  est correct, mais c’est le seul correct  de la ville. Bajawa est peu touristique si bien que l’hôtellerie n’y est pas développée. Pourtant si elle  n’a rien d’exceptionnel, les  alentours présentent des trésors. Le volcan Enirie culmine à 2245mètres et la ville à 1100 mètres ce qui en fait un endroit frais, la nuit nous avons une petite couverture, il doit faire 20° environ. On ne se plaint pas  d’être à peu près les seuls touristes. Ce coin  de la planète est à partager  en secret. Ce soir par exemple nous sommes les seuls clients de l’hôtel et un couple Indo/Américain.

img_1346-largeNous avons loué un scooter comme d’habitude et partis à la  découverte des villages Ngada. Cette ethnie Chrétienne et animiste, eh oui on ne peut jamais renier ses origines ancestrales, même quand les évangélisateurs sont passés par là. Ainsi cette ethnie adopte le principe des castes et  ont le culte des ancêtres. Leurs villages sont absolument merveilleux, construits sur une petite crête de montagne. Les symboles de la tradition Ngada sont nombreux. Les rites de fertilité sont toujours bien vivants. Ils vivent de l’agriculture  et du tissage des ikats. Ce sont de beaux tissus dont le motif  est obtenu en teignant chaque fil avant le tissage. Certains ikats valent des fortunes.

Quand on  remonte sur le haut plateau vers Bajawa , on  découvre une multitude de petits villages. Un jeune homme nous disait que dans les différents villages du coin, tout les gens ne parlaient pas forcément la même langue. En Indonésie, il y a 700 dialectes différents, mais le bahasa Indonésia est la langue officielle que  la plupart des Indonésiens connaissent.

Nous savions qu’il  existait des sources chaudes dans le coin, nous les avons cherchées pendant longtemps. Et c’est en repassant sur la route que nous avions déjà parcourue, que  deux petites filles nous ont  fait signe de s’arrêter. Elles nous ont demandé si nous cherchions les « hot spring » ? Ben oui, qu’on les cherche et depuis longtemps !!!

img_1404-largeAlors nous avons suivi nos  deux petites guides de 6 ou 8 ans. Nous avons vite compris  pourquoi nous n’avions pas trouvé ces fameuses sources. Il faut prendre un chemin très caillouteux, puis emprunter un petit pont en bambou, et  continuer encore dans une sorte de vallée entourée de bambous et autres grands arbres. Nos 2 gamines nous ont bien  guidés et nous ont fait découvrir de très belles sources d’eau absolument brûlantes peut être 70° ou plus, les vapeurs soufrées sont suffocantes. La roche est jaune vif par endroit, et on voit l’eau jaillir à l’arrivée  sur la roche, c’est vraiment très beau. Parallèlement à cette eau chaude qui dévale les  rochers, un autre cours d’eau froide  descend, puis à un certain moment les eaux chaudes et froides se rejoignent pour devenir tièdes bien évidemment. Il est possible de se plonger dans un grand bassin aménagé.

Nous  savions que la mousson était de décembre à avril, et jusqu’à maintenant nous ne nous en étions pas encore aperçu,  il a toujours fait beau. Mais depuis que nous sommes à Bajawa, il pleut toutes les nuits et une partie de la matinée. Heureusement que les après midi sont calmes et nous permettent de chevaucher notre scooter.

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Nous sommes conscients d’avoir de la chance dans  nos rencontres. David l’américain (notre voisin de chambre)  qui  vit  à Florès  parle très bien le français. Nous faisons plus ample connaissance et ainsi nous facilite notre prochain voyage. Nous changeons de programme pour la suite. Tout compte fait demain nous partirons en bus public pour  Riung au bord de la mer. Nous avions initialement prévu d’aller à Ende, mais nous ne ferons qu’y passer.

Il s’avère que David et Oana  partent ce jour à Riung, nous les rejoindrons demain.

Il pleut ce matin, le ciel est gris, le volcan  est submergé de nuages,  nous en profitons pour discuter.

Comme chaque jour, la pluie cesse en fin de matinée, nous grignotons un peu et partons visiter d’autres villages tribaux. Nous sommes dimanche et les gens de la campagne ont revêtu leurs beaux sarongs d’Ikats et rendent visite à leur famille. Il y a beaucoup de monde à pieds sur les routes.

Comme hier, pour les sources chaudes, nous avons du mal à trouver  le village de Wogo, et aujourd’hui c’est  un jeune  garçon  rencontré au bord de la route qui sera notre guide. Il nous  fait traverser une forêt de bambous  et  nous  conduit dans un site exceptionnel de mégalithes ancestraux qui servent encore pour certaines cérémonies.

Puis il nous propose de voir des sources chaude « air panas », mais quelle ne fut pas notre surprise, car en fait ce ne sont pas des sources chaudes comme il dit, mais bien un geyser, l’eau boueuse et  aux vapeurs soufrées suffocantes   bout   à plusieurs centaines de degrés peut être. Il nous fait passer sur des  plaques où les bulles d’eau bouillantes surgissent. Ce site au milieu d’une grande  forêt n’est pas sécurisé, on hallucine.

En fait  une usine, toute proche récupère l’énergie  provoquée par  ces eaux, pour en produire  de l’électricité.

Pour terminer cette super journée, sans rencontrer un seul touriste, nous visitons le village Ngada de Wogo.

Il est grand, 200 personnes y vivent. Nous rencontrons une dame qui parle bien l’anglais et nous propose de visiter sa maison. Nous acceptons sans hésiter. La maison est archi pleine de monde. Les hommes jouent aux cartes et boivent du vin de palme, des jeunes filles sont allongées sur des nattes. Nous demandons combien de personnes vivent dans cette maison, 6 nous répond elle. Mais aujourd’hui, est jour particulier car la grand-mère vient de mourir et c’est la cérémonie funéraire, c’est la raison du grand nombre de personnes dans la maison. Ce matin,  à l’occasion de la mort de Mamie, un buffle a été sacrifié, d’ailleurs la dame, prénommée Maria, eh oui elle est  chrétienne animiste,  nous présente l’homme qui a tué la grosse bête. Il porte à la taille le sabre  de plus de 50 centimètres qui a servi au sacrifice. Selon, nos différentes lectures ces sacrifices sont très producteurs d’hémoglobine et déconseillés aux âmes sensibles.

Maria nous  propose de boire un café local, elle  pose 2 chaises au milieu de ce qu’on appellera la cuisine, une pièce où brûle en son centre  deux feux  nourris par des troncs d’arbres que l’on pousse au fur et à mesure de la combustion. 2 énormes marmites pleines de légumes sont posées sur des trépieds et nous, nous trônons devant une  bonne dizaine de personnes qui nous regardaient. Ce sont des moments  inoubliables pour nous !! L’hospitalité de ces gens nous émeut.

Photos

La croisière

Comme convenu, nous étions au rendez vous à l’agence Perama de Senggigi à 9 heures. Nous avons choisi celle-ci, car elle est réputée pour son caractère sérieux. Certes nous avons payé plus cher que chez leurs concurrents, mais nous souhaitions assurer la sécurité.

Nous sommes 30 personnes de nationalités très différentes, mais 4 tourangeaux tout de même !!!!!!!  Une jeune fille et son frère de Chinon, font le même voyage que nous. Et de quoi avons-nous parlé ?? Ben ….de Chinon bien sûr et de Sainte Maure, non pas des villes mais du vin et du fromage. Ceci dit nous ne sommes pas encore en état de manque.

Il a fallu  2 heures pour traverser l’île en bus, puis l’embarquement  s’est fait sur la côte Est à Labuhan Lombok.

img_1217-largeNotre bateau est sympa, propre et assez grand. Nous avons pris des cabines et ne le regrettons absolument pas. Sinon, nous devions dormir sur le pont.

Nous avons  navigué 2 heures puis  fait escale sur « Island Perama » qui appartient à l’agence, on en fait le tour en 20 minutes. La plage de sable blanc est couverte de coraux blanc et rouge, et de coquillages. Françoise a trouvé un joli petit bénitier qui fera très bien  dans la salle de bains.

L’ambiance  est un peu style club Med. La population est encore très jeune. Il n’y a que deux  couples de suisses de notre âge. L’après midi sera fait  de snorkeling, baignade, beach volley , promenade sur l’île, lecture, échanges  entre les gens, jusqu’à l’heure du dîner fait de  thon grillé au barbecue,  de succulents légumes et riz, ananas en dessert et bière Bintang.

Le groupe  s’est assis autour d’un feu, du maïs doux grillé devant nous, et dégusté  au son de la guitare et tambourins, autant dire que cette soirée fut  très sympa. Un allemand nous a joué et chanté du Lennon, et  nous avons été   invité à apprendre une danse Indonésienne. Ah, au passage, le staff  de 8 jeunes garçons est vraiment aux petits soins pour nous. L’accès à la passerelle se fait sans rendez vous avec le commandant, c’est l’Indonésie, très « cool ».

A 21 heures nous reprenions le petit bateau pour nous reconduire au  gros laissé à l’ancre au large.

 

Nous avons navigué toute la nuit, il y a eu un peu de houle mais rien de bien important. Notre sommeil n’a pas été très bon, mais suffisant pour attaquer la nouvelle journée.

 

 

2ème jour en mer

Ce matin, réveil avec  la pluie, il est 7 heures, nous sommes à l’ancre. Ceux qui ont dormi sur le pont (une vingtaine) n’ont pas la mine des meilleurs jours, mais  le petit déjeuner bien copieux effacera rapidement les traces de fatigue.

Le petit bateau de survie  de notre navire sert à nous emmener  sur une toute petite île déserte où, un  beau lac d’eau salée est entouré d’arbres magnifiques. L’intérêt de ce lac est qu’il est  plein de petits poissons nettoyeurs, vous savez ceux que l’on trouve dans les instituts de beauté ou les spas, et qui  nettoient les pieds en mangeant les peux mortes. Eh bien ici c’était gratuit.

A 10 heures il ne pleut plus.

img_1239-largeLes gens du groupe font de plus en plus connaissance et échangent beaucoup sur leur  vécu de voyage, chacun prend et donne des conseils et bons tuyaux aux autres.

Après le déjeuner, nous reprenons la navigation pendant 6 heures. Nous longeons les côtes de Sumbawa. L’île, comme toutes autres  îles de la sonde est montagneuse et couverte de forêts et plantations, Nous sommes trop loin pour savoir ce que sont ces cultures d’un vert éclatant.

Nous arriverons hélas trop tard  sur les côtes de Subawa pour profiter d’un autre  temps pour le snorkeling, il est 19 heures et la nuit est tombée. Mais comme  nous le disions plus haut, le groupe est jeune, si bien que certains  se sont baignés quand même. Ils ont plongé  de la mi-hauteur du mât, le spectacle  était assuré ! Ah ces jeunes, ils sont téméraires, car de là haut franchement, il faut pouvoir sauter ou plonger !!

Nous naviguerons toute la nuit pour arriver vers 7 heures au large de Komodo.

 

3ème jour en mer

KOMODO

Petit déjeuner  à 7 heures ce matin, car nous partons pour l’île de Komodo à la découverte des dragons.

Nous quitterons le bateau  laissé à l’ancre en mer et pris  le petit canot de survie pour nous emmener à l’entrée du parc national où vivent ces fameux dragons de Komodo.

Un droit d’entrée dans le parc est exigé, puis un guide nous prend en charge. Les consignes sont fermes. Nous seront encadrés par deux rangers, ne devront pas  quitter le sentier, rester en groupe, garder le silence, ne pas fumer. Bref on est mis dans l’ambiance.

Le trek durera 2 heures  pour parcourir seulement 4 kilomètres.

img_1269-largeC’est au bout d’une demi-heure que nous verrons le premier ou plutôt la première bébête  car il s’agit d’une femelle dragon. Elle est sous un arbre, paisible, mais selon le guide prête à  agresser. Nous faisons confiance à nos rangers, car leur seul moyen de défense est un  grand bâton fourchu. Oups, en cas d’agression, nous ne savons pas si les dits bâtons suffiraient à arrêter ces  énormes lézards. Ils  sont les seuls  survivants des dinosaures, et sont  carnivores. Ils sont capables de tuer un buffle pour le manger. En fait ils ont une salive chargée de bactéries, et  lorsqu’ils attaquent un gros mammifère, ils le   mordent  et le contaminent. Il faudra une semaine au buffle  de plusieurs centaines de kilos pour mourir d’infection. A ce moment  notre dragon pourra se régaler.  Les dragons sont également cannibales, si bien que les mères peuvent manger leurs bébés. La nature est  assez bien faite, car les  bébés, dès qu’ils le peuvent  grimpent aux arbres afin d’échapper au cannibalisme de leur parents ou des autres.

On ne trouve ces varans que dans l’archipel de Komodo et Rinca, ils seraient encore 2000 et sont protégés.

Après cette très belle découverte, nous avons mis le cap sur une magnifique plage, appelée « red beach » car en bordure de plage  le sable est rouge. Nous y avons fait du snorkeling, et nous pensons que cet endroit a été le plus beau depuis que nous plongeons. Nous avons nagé  dans un aquarium géant, où les coraux  sont multicolores, OUAAH !!!!!!!!

Les photos que nous joignons ont été prises par Dimitri, un jeune français participant à la croisière. Il a accepté de nous passer sa carte photo, pour que nous puissions en mettre quelques unes sur le site.

Il faut bien une fin à tout, c’est vers 16 heures que notre bateau a accosté à Lunban bajo, à Florès.

Nous sommes enchantés de cette parenthèse de 3 jours, elle nous a permis de rencontrer encore des gens sympas, et surtout de découvrir des sites exceptionnels, et voir de nos propres yeux ces fameux varans.

Cette petite ville portuaire, qui semble bien mignonne, ne nous retiendra qu’une nuit. Nous avons trouvé une petite Guest House et avons organisé notre voyage du lendemain avec le patron. Nous reprenons un bus dit « confortable », on verra bien, pour aller à Bajawa au centre de l’île.  Nous envisageons de faire la tranflorésienne. Oh, ça n’est pas que c’est long, environ 700 kilomètres, mais les routes sont petites et  ce n’est que de la montagne.

Flores est une île encore peu visitée, si bien que l’infrastructure  touristique n’y est pas très développée, nous allons certainement avoir quelques difficultés de transports, mais ça fait partie des joies du voyage en duo.

La parenthèse de 3 jours  de croisière se ferme et nous reprenons  notre périple seuls. Nous sommes juste à mi parcours de notre magnifique  voyage. Nous en profitons pour remercier nos lecteurs et nos commentateurs. Nous sommes toujours très heureux de vous lire.

Photos

Terima Kasi(Merci)