J – 3 (2025)

Une nouvelle année commence, et comme chaque début d’année nos valises sont prêtes à partir et nous avec.

Notre destination sera une fois de plus l’Asie du sud est que nous  affectionnons particulièrement.

Voici quelques  détails de notre voyage.

 Ce sera, encore la Thaïlande qui nous accueillera .

Pour commencer, nous visiterons le Nord Ouest du pays, Chiang Mai et sa région, Mae Hong son (à la lisière de la Birmanie) ,Pai, Chiang Rai, le triangle d’or.

Nous serons un mois dans cette contrée. La dernière fois que nous avons visité cette région, c’était en 1999, un autre siècle !!!

Puis nous retrouverons notre ami Aurélien, pour une semaine dans le golfe de Thaïlande, sur les îles Ko Tao, Ko Pha Ngan et Ko Samui.  

Après ça nous traverserons le pays (qui est très peu large dans le sud), direction la mer d’Andaman, en principe dans l’archipel des Similan ou autre île.

Au passage nous irons très certainement rendre visite à des amis tourangeaux qui  sont en vacances dans le coin.

Nous serons un mois entre les îles du golfe et celles de  la mer d’Andaman.

C’est à  Bangkok que nous terminerons notre séjour Thaïlandais où nous y  passerons quelques jours avant de partir

Le 11 mars nous quitterons l’Asie  pour nous rapprocher de l’Europe, C’est la Jordanie qui nous accueillera  pendant deux semaines. Nous louerons une voiture et prévoyons d’aller du  nord sud du pays.

Notre programme  se profile  ainsi :

Amman, la capitale

De Jerash à la réserve d’Ajloun

La route des rois, au cœur des montagnes de Jordanie

Petra

Wadi Rum entre désert et montagne

La mer morte

Aqaba sur la mer rouge

A bientôt

Japon : Osaka

Notre dernière étape au Japon sera Osaka, d’où nous repartirons.

Nous logeons dans une toute petite rue, dans une maison ancienne, loin de la trépidante cité, mais néanmoins proche du métro.

Osaka est la troisième ville du Japon avec plus de  2 millions d’habitants, ultra moderne.

Elle possède un château du  16 ème siècle ; nous ne  visiterons que l’extérieur  et son joli parc planté de 4000 sakura, pruniers et pêchers.

Nous sommes littéralement ébahis par tant de beauté. Les gens y sont par centaines à pique niquer tard le soir. Nous sommes restés jusqu’à la tombée de la nuit afin d’admirer château illuminé, une féerie.

Avant de quitter Osaka nous retournons à Kyoto afin de voir les sakura en fleurs dans le chemin de la  philosophie, car la semaine dernière ils n’étaient pas encore fleuris. Du coup nous avons pu  profiter de la magie du lieu avec ses 500 sakura au bord du canal.

Nous avons également visité le pavillon d’argent (Ginkaku –ji) XVe siècle, que nous n’avions pas eu  le temps de visiter. Ginkaku-ji est un temple bouddhis,il s’entoure d’un magnifique jardin sec à l’esthétique épurée, d’une allée de bambous ainsi que d’un jardin japonais de mousses.

En remontant à flanc de montagne, depuis la petite forêt de bambous qui dévoile un jardin japonais de mousses, on découvre une superbe vue sur le nord de Kyoto.

Nous avons réel coup de cœur pour ce pays du bout du monde. La société Nippone est tellement éloignée de la nôtre !!!

Nous avons apprécier le civisme des gens, la propreté, la courtoisie.

Et tout ce qui peut être aidant pour un touriste occidental.

photos d’Osaka

photos de Kyoto

Japon : Himeji

Nous sommes arrivés tranquillement à Himeji, déposé nos valises. Puis direction les alentours du château que nous visiterons le lendemain.

Le château de Himeji est le principal point d’intérêt de la ville éponyme et pour cause : il s’agit de l’un des douze derniers châteaux en bois du Japon, classé au Patrimoine Mondial de l’Unesco depuis 1993. Construit en 1609 et surnommé le château du Héron blanc, il se visite jusqu’à son sommet, au sixième étage. Il a été rénové entre 2010 et 2015.

Au fur et à mesure de la montée, les niveaux se restreignent, les marches sont de plus en plus raides et les plafonds plus bas. En haut, des petites fenêtres offrent une vue intéressante sur toute la ville.

L’avantage de Himeji pour les visiteurs, c’est sa taille assez restreinte et la position proche de la gare et faciles à atteindre à pied.

Autour du château, il y a  le grand et beau jardin Koko-en (ou Nishi-Oyashiki-Ato).

Ce ne sont pas moins de 9 jardins japonais différents que l’on découvre en une seule visite et qui proposent un aperçu condensé de l’art paysager à l’époque Edo (1603 – 1868).

On retrouve ainsi les éléments symboliques d’un jardin traditionnel, à savoir :

  • un grand plan d’eau avec ses carpes koi dans le jardin principal de la résidence du seigneur ;
  • la maison Souju-an de style sukiya dédiée à la cérémonie du thé (suspendue en période de pandémie du Covid-19) ;
  • la vue sur une élégante cascade depuis le pavillon Cho-on-sai qui s’avance sur l’eau ;
  • une succession de petites forêts d’arbres d’été qui fleurissent au printemps, d’érables qui rougissent en automne, de pins et de bambous qui restent verts toute l’année ;
  • un paysage miniaturisé de l’archipel composé de collines artificielles, de petits ponts de pierre, de bosquets et de ruisseaux ;
  • et pour les amateurs d’histoire, deux jardins de fleurs (dont Nae-no-niwa) qui proposent de revenir sur les plantes cultivées et particulièrement appréciées dans la région à l’époque d’Edo.

Une atmosphère apaisante et hors du temps

On se plaît à se promener dans cet environnement à la fois végétal et traditionnel où règnent calme et tranquillité. On profite d’une pause pour écouter le doux bruit de l’eau qui ruisselle, regarder les nombreux insectes s’affairer autour des fleurs et les oiseaux sauvages venir se rafraîchir au bord des étangs. On peut également y voir des expositions temporaires au sein des bâtiments du jardin ainsi que différents bonsaïs de pruniers, de pins ou d’érables mis en avant selon les saisons.

En fin de visite nous sommes allés dans la maison de thé  au décor dépouillé pour y déguster un thé matcha dans une ambiance zen. De fin mars à début avril, Le Japon se transforme au fur et à mesure que la fièvre des cerisiers en fleur envahit le pays.

photos